La bande blanche : l'angoisse du cycliste !

d'habitude les images de cyclisme font plutôt référence à la douleur, la légende, ''les forçats de la route'', la puissance des jarrets tendus à l'extrême, voire le doping;;; ici ce n'est que légèreté doucement évoquées par les roues et leur rayons si fins qu'ils ne paraissent pas devoir supporter le poids qui est dessus, à peine suggéré par des mollets tout juste entrevus à peine mentionnés. L'impression de vitesse n'est pas celle de la virilité mais plutôt celle de la libellule. Tout juste apparaissent les cycles que déjà ils s'évanouissent. Les lignes du passages pour piétons sont presque superflues, même si elles ajoutent à l'esthétique et à l'idée de la vitesse, éléments statiques par rapport à un objet qui fuit. l'homme est à peine pensé, c'est la machine qui est la vedette....

Est-ce le hasard de la photo ou la qualité du photographe ? le cyclisme redevient l'espace d'un cliché une ''petite reine'' symbole de l'évasion dans un azur très pur.

superbe photo qui ne me laisse pas du tout indifférent.

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Je sais pourquoi ça ne te laisse pas indifférent Quimerc'h